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VOYAGES - Citoyenne du monde - Page 9

  • Partir un an à moto : la check-list

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    Pour être sur de ne rien oublier ; voici quelques points à prendre en compte avant de partir à l'aventure en moto.

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    • Permis de conduire international : à jour, et traduit en plusieurs langues

    • Papiers de la moto : également scannés, en cas de perte, et bien cachés, sous le siège par exemple

    • Carnet de passage : c'est comme un passeport pour véhicule, obligatoire dans certains pays, également traduit dans plusieurs langues

    • L'assurance : faites le tour des compagnies, munissez-vous de la carte verte, qui vous couvre déjà dans l'Union Européenne et quelques pays limitrophes, puis voyez s'il est plus intéressant de prendre une assurance à la frontière dans chaque pays ou une couverture globale

    • L'assurance perso : rapatriement et accidents, pour éviter les mauvaises surprises

    • Scanner vos documents persos et vous les envoyer par emails pour les avoir toujours à disposition

    • Idéalement dans les régions les plus reculées, aviser le consulat du pays de votre itinéraire et date approximative d'entrée et sortie du pays

    • Emporter quelques outils pour démonter les roues, le siège, accéder au filtre à huile, à air, apprendre à faire une vidange, cela vous évitera d'avoir à trouver sur place un mécanicien pour les tâches de maintenance basique

    • Emporter un petit carnet de maintenance pour être sûr de ne pas rater la prochaine vidange, car la moto va déjà beaucoup souffrir, c'est des problèmes assurés !

    • Les protections, le casque ; des modèles légers si possibles, quitte à se couvrir avec une veste en dessous dans les pays froids, mais que l'on puisse porter même s'il fait 35 degrés

    • Des sacs étanches pour les affaires qui vont supporter la pluie et le mauvais temps

    • Laisser le double des clés chez un proche qui pourra les envoyer facilement en cas de besoin

    • Pour les plus branchés ; un smartphone avec GPS, et un petit ordi portable dans un sac rembourré

     

     

     

     

     

  • Visite des jardins botaniques de Hakgala, au Sri Lanka

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    jardins.JPGLes jardins botaniques de Hakgala sont l'un des trois jardins de ce type au Sri Lanka, et de loin les plus beaux. L'entrée coûte 600 roupies, 5€ pour les étrangers.

    Grâce à cette donation, l'endroit est maintenu en parfait état et les plantes endémiques sont étudiées et élevées ici.

    Pour rejoindre les jardins botaniques de Hakgala, il suffit de prendre le bus depuis Nuwara Eliya. Depuis Haputale c'est plus long et la route est en mauvais état. Le jardin est à 1500m d'altitude, il fait frais, c'est délicieux comparé à la côte bien plus chaude.

     

    Le jardin de Hakgala a été créé en 1861, c'était au départ une simple plantation pour cultiver le quinquina, une espèce de plante qui ne pousse généralement pas à cette altitude. Ce fût un succès et peu à peu, les horticulteurs ont apporté des espèces de plantes du monde entier qui se sont très bien adaptées.

    Cet endroit est vraiment une bulle de fraîcheur et de détente sur l'île.

     

     

  • Amazonie : découverte des Chutes d’Iguaçu

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    chutes.JPGAu cœur de la forêt tropicale entre le Brésil et l’Argentine, la rivière Iguaçu (affluent du fleuve Rio Paraná) se précipite d’une falaise de 70 mètres, en 275 chutes, s’étalant sur près de 2.5 kilomètres. Prenant sa source dans la Serra do Mar, au Brésil, la rivière Iguaçu s’étend sur près de 1.320 kilomètres avant de se transformer en impressionnantes chutes d’eau, dont la plus célèbre est la Gorge du Diable.


    Les chutes furent découvertes par l’explorateur espagnol, Álvar Núñez Cabeza de Vaca, au 16e siècle. Si les chutes d’Iguaçu se situent pour leur grande partie sur le territoire argentin, c’est le côté brésilien qui vous offrira une vue inoubliable sur les 3 kilomètres de cascades dévalant de la forêt tropicale.


    Les fantastiques chutes d’Iguaçu sont probablement les plus belles chutes d’eau existant au monde, de par leur environnement laissé sauvage, leur nombre impressionnant et la faune diversifiée les côtoyant –oiseaux, papillons multicolores et coatis, l’emblème du parc national.

  • le Nouvel an en Islande : voyage photographique au coeur de la nature

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    Pour le nouvel 2019, nous avons passé 12 jours en Islande avec mon amie et nous avions décidés de diviser le séjour en deux parties avec, dans un premier temps, le trek du « Laugavegur » sur 4 jours, et ensuite une location de voiture pour accéder à des lieux magiques que j’avais repérés auparavant et s'adonner au plaisir d'un photographe pour les voeux de nouvel an ...

     

    Concernant le trek, nous voulions le faire en autonomie, sous la tente. J’avais lu quelques conseils sur le matériel à avoir pour être serein. Un bon équipement me semble important pour ce type de climat rude et parfois imprévisible, ne serais-ce que pour se rassurer, car je suis quelqu’un de malheureusement très anxieux à la base.

    L’anxiété devenait d’ailleurs assez forte quand nous sommes arrivés en bus au départ du trek à Landmannalaugar. Le ciel sombre, le paysage à la fois magnifique et effrayant. Le personnel du refuge vérifie notre équipement et ne laisse pas partir ceux qui sont mal équipés, indiquant que beaucoup de neige est présente sur le parcours et que la météo peut devenir dangereuse. A la fin du mois de Décembre, il n’y a pas encore trop de touristes et il reste beaucoup de neige à certains endroits.

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    Il est difficile de décrire à quel point le décor est incroyable, au-delà du fait que c’était très original et beau à observer pour un photographe, l’ambiance me replongeait dans mes influences littéraires et musicales. Comment ne pas penser aux étendues cyclopéennes des montagnes hallucinées (HP . Lovecraft). Je pouvais imaginer une procession des grands anciens ou un monstre informe d’outre-espace gambadant frénétiquement dans les steppes…

     

    Imaginez qu’on débute dans des vallonnements multi teinte - ocre jaune beige, bleutés. On monte dans un dédale de lave pétrifiée recouvert de mousse extrêmement épaisse. Tout ça mélangé à des fumées odorantes qui sortent du sol un peu partout… Nous sommes ensuite arrivés à l’altitude des nuages, ce qui donnait une impression de flottement très abstraite, vu que le sol sans neige était mou et fumant, parfois percé de cavernes de glace. Puis le chemin redescend sur une vallée immense, vide à perte de vue, avec des monts de cendres noires recouverts de mousses d’un vert puissant. Ensuite, c’est le désert, puis des gorges apocalyptiques, des rivières à traverser et même une étrange forêt à Thorsmork : plein de photos à montrer...

     

    Au programme de ce séjour photo

    10 jours d’immersion totale dans un univers extraordinairement inspirant.

    Apprentissage de toutes mes techniques de prise de vue photo en paysage.

    Filtre dégradés, lumières dramatiques, poses longues, mouvements, composition artistique.

    Analyse et cours sur le traitement d’image avancé au cours du séjour sur ordinateur portable.

    un trek de 4 jours dans un décor surréaliste, surprenant et varié.

    Découverte des lieux inédits de l’Islande (Skaftafel, Jokulsarlon, SkogarFoss, Landmannalaugar, Thorsmork)

    Une journée sur le glacier "Vatnajokull" parsemé d’immenses crevasses.

     

     

  • le tourisme de nature - suite

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    Intervention publique concernant ce tourisme de nature ensuite, pour encourager la qualification et l’adaptation des hébergements et des services touristiques existants.

    La France se caractérise par une multitude de petites structures qui participent certainement à l’attractivité de la destination. Encore faut-il qu’elles soient en capacité de répondre au haut niveau d’exigence en terme de confort, de caractère et de qualité des services. Ainsi le Tourisme de nature étalé sur plusieurs saisons, diffusé sur un territoire, peut-il être facteur déclenchant d’une qualification de l’offre touristique, des hébergements et des services qui sera bénéfique en réalité à des marchés diversifiés.

    Avant de conclure on a tenu à souligner le haut de niveau de participation à cette journée technique qui s’est déroulée « à guichets fermés ».

    Enfin il a souhaité que la dynamique engagée par des territoires tels que les Parcs Nationaux et les Parcs naturels régionaux, ainsi que les initiatives lancées par des opérateurs touristiques ou par des associatifs trouvent écho et appui auprès des institutionnels.

    Pour ce qui la concerne l’AFIT continuera son engagement : elle est ouverte notamment à nouer des partenariats pour la formation des opérateurs.